samedi 20 juillet 2013

//ROCK//
David Lynch "the big dream".
Au fin fond d'une ville, en plein hiver, si l'on peut encore dire que c'est une ville, se trouve une porte. Retour dans un passé noir et blanc, dans un labyrinthe qui n'en fini plus, la peinture se décolle des murs. On peut distinguer des petits dessins. Et une musique en fond résonne, ils vibrent, comme si ils ressortaient ce qu'ils avaient entendu. Une voix nasillarde retentit comme un mal être. Des riffs suaves à faire fondre la banquise me transportent dans une pièce mal éclairée en face de moi une femme difforme se touche, je ne vois pas son visage. J'entend juste cette voix. Tout est très minimaliste, rien ne traîne. Pourtant je voyage loin. Je fredonne comme si je connaissais déjà cette musique. Suis en nage de sueurs froides. Puis horreur le disque, cette ville, ce labyrinthe prend fin.  Même endormi, je fredonne. Il y a toujours cette femme sublime, en rouge, elle se...






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